Experts de BMO au sommet Canada–États-Unis de 2024
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Le sommet Canada-États-Unis de 2024 a mis en vedette des décideurs de haut niveau du gouvernement, du secteur privé et de la société en général qui ont exploré la façon de mieux comprendre, gérer et tirer parti de l’importante relation entre les États-Unis et le Canada.
Nos experts de BMO ont fait part de leurs réflexions sur l’avantage nord-américain. Écoutez :
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Darryl White, chef de la direction de BMO Groupe financier
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Christine Cooper, vice-présidente à la direction et chef, BMO Entreprises, Canada
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Nadim Hirji, chef, BMO Entreprises, Amérique du Nord
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David Jacobson, conseiller stratégique, BMO Groupe financier et 22e ambassadeur des États-Unis au Canada
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Mona Malone, chef des ressources humaines et chef, Talent, culture et marque de BMO Groupe financier
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Brian Tobin, délégué du conseil, BMO Groupe financier
Darryl White :
Soit dit en passant, ce fut une excellente journée. Aujourd’hui, j’ai discuté avec des gens et je m’intéresse aux éléments les plus importants que nous devons retenir. Des occasions sont à saisir à court et à long terme. Il y a la revue de l’Accord Canada–États-Unis–Mexique (ACEUM) en 2026. C’est presque comme si c’était demain matin. Nous devons nous attaquer à des problèmes à plus long terme, comme la manière de faire valoir l’avantage concurrentiel que nous avons ensemble face à un monde en pleine réorganisation. La chaîne d’approvisionnement en minéraux essentiels a besoin d’un cadre sérieux pour attirer tous les capitaux d’investissement dont nous avons besoin pour nous développer à la même vitesse que le secteur des batteries et de la décarbonisation. Les possibilités sont infinies. Les bonnes personnes sont réunies aujourd’hui pour avoir la bonne discussion, alors je crois que c’est très prometteur.
Christine Cooper :
Je crois que pour notre clientèle au Canada, les États-Unis représentent une excellente occasion d’affaires. Comme pour BMO, pour qui ils ont représenté une occasion incroyable. Et ce que nous voyons, c’est qu’ils sont notre voisin le plus proche. Nous avons des valeurs communes et un accord commercial, et ils sont notre plus grand partenaire commercial. Ainsi, lorsque nos clients veulent croître, ils veulent le faire en diversifiant leurs activités, principalement aux États-Unis. Et il y a tellement d’occasions d’affaires à saisir.
Nadim Hirji :
Depuis plus de 200 ans, BMO met à profit son expertise du secteur et sa connaissance des marchés locaux pour aider ses clients à développer leurs activités et à gérer les risques. Nous sommes une banque commerciale nord-américaine pleinement intégrée qui exerce d’importantes activités des deux côtés de la frontière. Nous sommes maintenant l’une des cinq meilleures banques commerciales en Amérique du Nord.
Nous adoptons une vision à long terme avec nos clients. Nous ne cherchons pas la réussite rapide. Au contraire, nous travaillons avec nos clients, souvent sur plusieurs générations.
Nous collaborons étroitement avec nos collègues des Marchés des capitaux et de la Gestion de patrimoine pour offrir toute notre gamme de solutions à notre clientèle. À nos clients, merci beaucoup de faire affaire avec nous. Et aux clients éventuels qui cherchent à croître en Amérique du Nord, dites-nous comment nous pouvons vous aider. Merci.
David Jacobson :
Compte tenu de certaines des difficultés dans le monde, soient des difficultés politiques et militaires et de l’instabilité, le moment est particulièrement bien choisi pour investir en Amérique du Nord. Nous faisons l’envie du monde pour notre stabilité politique. Nous avons une longue tradition de primauté du droit.
Nous avons la plus longue frontière au monde qui est aussi la plus longue frontière non défendue. Et nous avons une main-d’œuvre très scolarisée. Des activités entrepreneuriales sont présentes dans les deux pays. Voilà les éléments qui sont très, très importants pour les entreprises lorsqu’elles prennent des décisions d’investissement.
Mona Malone :
Quand je pense au Canada et aux États-Unis, je suis extrêmement optimiste quant aux possibilités qui s’offrent à nous en matière de main-d’œuvre. J’ai vraiment hâte de participer à une discussion passionnante avec chacun de nos panélistes. Ils sont reconnus comme des leaders éclairés dans l’évolution du monde du travail. Personnellement, je crois qu’il y a un certain nombre d’éléments clés à retenir.
Tout d’abord, nous constatons des avancées technologiques rapides qui modifient les tâches. L’accent est ainsi mis davantage sur les compétences. Nous constatons aussi la présence de cinq générations ou plus sur les lieux de travail. Le profil des travailleurs et la durée de leur engagement évoluent. Ces facteurs pourraient permettre de remodeler les secteurs d’activité. Nous avons l’occasion de réfléchir à nos bassins d’emploi et de renforcer la résilience des entreprises, des gouvernements et des organisations à but non lucratif au Canada et aux États-Unis.
Brian Tobin :
Il s’agit d’une relation constituée d’échanges bilatéraux. Selon la façon de les comptabiliser, ces échanges totalisent entre trois quarts de billion et un billion de dollars. C’est la relation commerciale bilatérale la plus dynamique au monde. Aussi, nous pouvons la tenir pour acquise, ou la traiter avec précaution et attention, comme nous le devrions, et encourager la poursuite de ce qui a été l’une des grandes réussites du commerce mondial sur la planète.
Alors, si c’est ce qu’on souhaite, on doit unir nos efforts. On doit se porter une attention mutuelle. On doit comprendre le point de vue de l’autre et faire preuve de prudence dans cette relation qui n’est pas automatique. Elle doit être entretenue. Et, c’est ce que nous faisons ici.
Nous entretenons cette relation importante.
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Le sommet Canada-États-Unis de 2024 a mis en vedette des décideurs de haut niveau du gouvernement, du secteur privé et de la société en général qui ont exploré la façon de mieux comprendre, gérer et tirer parti de l’importante relation entre les États-Unis et le Canada.
Nos experts de BMO ont fait part de leurs réflexions sur l’avantage nord-américain. Écoutez :
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Darryl White, chef de la direction de BMO Groupe financier
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Christine Cooper, vice-présidente à la direction et chef, BMO Entreprises, Canada
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David Jacobson, conseiller stratégique, BMO Groupe financier et 22e ambassadeur des États-Unis au Canada
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Mona Malone, chef des ressources humaines et chef, Talent, culture et marque de BMO Groupe financier
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Brian Tobin, délégué du conseil, BMO Groupe financier
Darryl White :
Soit dit en passant, ce fut une excellente journée. Aujourd’hui, j’ai discuté avec des gens et je m’intéresse aux éléments les plus importants que nous devons retenir. Des occasions sont à saisir à court et à long terme. Il y a la revue de l’Accord Canada–États-Unis–Mexique (ACEUM) en 2026. C’est presque comme si c’était demain matin. Nous devons nous attaquer à des problèmes à plus long terme, comme la manière de faire valoir l’avantage concurrentiel que nous avons ensemble face à un monde en pleine réorganisation. La chaîne d’approvisionnement en minéraux essentiels a besoin d’un cadre sérieux pour attirer tous les capitaux d’investissement dont nous avons besoin pour nous développer à la même vitesse que le secteur des batteries et de la décarbonisation. Les possibilités sont infinies. Les bonnes personnes sont réunies aujourd’hui pour avoir la bonne discussion, alors je crois que c’est très prometteur.
Christine Cooper :
Je crois que pour notre clientèle au Canada, les États-Unis représentent une excellente occasion d’affaires. Comme pour BMO, pour qui ils ont représenté une occasion incroyable. Et ce que nous voyons, c’est qu’ils sont notre voisin le plus proche. Nous avons des valeurs communes et un accord commercial, et ils sont notre plus grand partenaire commercial. Ainsi, lorsque nos clients veulent croître, ils veulent le faire en diversifiant leurs activités, principalement aux États-Unis. Et il y a tellement d’occasions d’affaires à saisir.
Nadim Hirji :
Depuis plus de 200 ans, BMO met à profit son expertise du secteur et sa connaissance des marchés locaux pour aider ses clients à développer leurs activités et à gérer les risques. Nous sommes une banque commerciale nord-américaine pleinement intégrée qui exerce d’importantes activités des deux côtés de la frontière. Nous sommes maintenant l’une des cinq meilleures banques commerciales en Amérique du Nord.
Nous adoptons une vision à long terme avec nos clients. Nous ne cherchons pas la réussite rapide. Au contraire, nous travaillons avec nos clients, souvent sur plusieurs générations.
Nous collaborons étroitement avec nos collègues des Marchés des capitaux et de la Gestion de patrimoine pour offrir toute notre gamme de solutions à notre clientèle. À nos clients, merci beaucoup de faire affaire avec nous. Et aux clients éventuels qui cherchent à croître en Amérique du Nord, dites-nous comment nous pouvons vous aider. Merci.
David Jacobson :
Compte tenu de certaines des difficultés dans le monde, soient des difficultés politiques et militaires et de l’instabilité, le moment est particulièrement bien choisi pour investir en Amérique du Nord. Nous faisons l’envie du monde pour notre stabilité politique. Nous avons une longue tradition de primauté du droit.
Nous avons la plus longue frontière au monde qui est aussi la plus longue frontière non défendue. Et nous avons une main-d’œuvre très scolarisée. Des activités entrepreneuriales sont présentes dans les deux pays. Voilà les éléments qui sont très, très importants pour les entreprises lorsqu’elles prennent des décisions d’investissement.
Mona Malone :
Quand je pense au Canada et aux États-Unis, je suis extrêmement optimiste quant aux possibilités qui s’offrent à nous en matière de main-d’œuvre. J’ai vraiment hâte de participer à une discussion passionnante avec chacun de nos panélistes. Ils sont reconnus comme des leaders éclairés dans l’évolution du monde du travail. Personnellement, je crois qu’il y a un certain nombre d’éléments clés à retenir.
Tout d’abord, nous constatons des avancées technologiques rapides qui modifient les tâches. L’accent est ainsi mis davantage sur les compétences. Nous constatons aussi la présence de cinq générations ou plus sur les lieux de travail. Le profil des travailleurs et la durée de leur engagement évoluent. Ces facteurs pourraient permettre de remodeler les secteurs d’activité. Nous avons l’occasion de réfléchir à nos bassins d’emploi et de renforcer la résilience des entreprises, des gouvernements et des organisations à but non lucratif au Canada et aux États-Unis.
Brian Tobin :
Il s’agit d’une relation constituée d’échanges bilatéraux. Selon la façon de les comptabiliser, ces échanges totalisent entre trois quarts de billion et un billion de dollars. C’est la relation commerciale bilatérale la plus dynamique au monde. Aussi, nous pouvons la tenir pour acquise, ou la traiter avec précaution et attention, comme nous le devrions, et encourager la poursuite de ce qui a été l’une des grandes réussites du commerce mondial sur la planète.
Alors, si c’est ce qu’on souhaite, on doit unir nos efforts. On doit se porter une attention mutuelle. On doit comprendre le point de vue de l’autre et faire preuve de prudence dans cette relation qui n’est pas automatique. Elle doit être entretenue. Et, c’est ce que nous faisons ici.
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